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SOMMES-NOUS LES AMIS DE JESUS ?

Tout ce que Jésus a dit a de quoi nous faire réfléchir, mais certaines de ses déclarations sont plus frappantes que d’autres. Celle de Jn 15.15 en fait partie : Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père. Jésus s’adresse à ses disciples, ceux qui l’accompagnaient dans son ministère, et il leur dit cette parole extraordinaire : Je ne vous appelle plus serviteurs... mais je vous ai appelés amis. Aimeriez-vous que le Seigneur, en s’adressant à vous de façon personnelle, vous dise : Je t’appelle mon ami ? Je crois entendre votre « oui » là où je me trouve... Bien sûr, nous voulons tous faire partie des amis de Jésus, n’est-ce pas ?


D’ailleurs, ne sommes-nous pas ses amis, si l’on s’en tient à ce qu’il dit à la fin du verset : ...parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père ? Jésus ne nous a-t-il pas révélé la pensée de son Père, tant par ses actes que par ses enseignements ? Oui, c’est exactement ce qu’il a fait, et si nous l’avons vu et écouté, alors nous sommes ses amis. Comprenez-vous ce que je viens de dire ? Laisse-moi vous le dire de cette façon : en lisant ou en écoutant l’Evangile, nous prenons connaissance de tout ce que Christ a reçu de son Père, et si nous le prenons au mot, cette connaissance fait de nous ses amis, car c’est bien ce qu’il dit dans notre verset : je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père.


Mais cette connaissance est-elle suffisante pour faire partie des amis de Jésus ? Connaître ce que le Père pense et veut, est-ce que cela suffit pour être qualifiés d’amis de Jésus ? Certains le croient, mais en vérité il faut remplir une autre condition que simplement « connaître » ce que Jésus a dit ! Et c’est Jésus lui-même qui nous indique quelle est cette condition, juste avant dans le v.14 : Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande. Je vous invite à lire plusieurs fois de suite ce que Jésus dit ici. Lisez lentement et arrêtez-vous sur chaque mot. Pendant un moment, mettez de côté ce qu’enseigne votre église ou votre communauté, votre pasteur ou votre prêtre, et relisez lentement ces paroles de Jésus. Au fait, comment réagiriez-vous si votre voisin venait vous voir et vous dise : « Si tu fais ce que je te commande, tu seras mon ami » ? Je ne sais pour vous, mais moi je lui dirai que je ne souhaite pas être son ami...


Il y a deux verbes clés dans cette déclaration de Jésus. Le premier, c’est le verbe « commander ». Il s’agit de ne pas se tromper : Jésus ne dit pas qu’il « propose » ou qu’il « suggère », mais qu’il commande. Commander, c’est donner un ordre. Le choix n’est pas une option quand un ordre est donné. La seule réponse possible, c’est l’obéissance. C’est ce qui nous amène au second verbe « faire ». Non pas « penser » ou « donner son avis », mais « faire » ! En d’autres mots, Jésus attend de notre part que nous passions à l’action, et que nous traduisions en actes ce qu’il nous ordonne. Cela s’appelle « l’obéissance ». C’est aussi simple que cela. J’ai bien peur que beaucoup de chrétiens se contentent d’admirer ce que Jésus a dit, ou d’interpréter ses déclarations, en essayant de les adapter à leur mode de vie ou aux dogmes de leurs églises, alors que le Seigneur demande une chose : l’obéissance...


Mais le problème c’est que les croyants sont plus préoccupés par les pratiques de leurs communautés chrétiennes, que par l’obéissance à ce qu’a dit Jésus. Voilà pourquoi nous devons nous poser cette question : Faisons-nous ce que Jésus commande ? Marchons-nous dans l’obéissance à ses enseignements ? Nous pourrions être tentés de répondre par l’affirmative, cependant, il y a une différence entre ce que nous croyons, et ce qui est vrai aux yeux de Dieu. Nous pouvons croire à notre sujet l’opposé de ce que Dieu voit en nous. Par exemple, lisons Mt 7.21-23 :

21 Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n'entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux.

22 Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé par ton nom ? n'avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? et n'avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ?

23 Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité.


Au v.21, Jésus marque la différence entre ceux qui disent et ceux qui font, c’est-à-dire entre ceux qui croient et ceux qui sont. Ce qu’il faut retenir, c’est que le royaume est soit ouvert soit fermé, même pour ceux qui croient. Dans la sphère chrétienne, d’une manière générale, nous avons développé la culture de l’adhésion. Alors certains adhèrent à la Foi Évangélique. D’autres adhèrent à la Foi Catholique. D’autres encore adhèrent à la Foi Pentecôtiste. Etc. Nous croyons que Dieu réagit à notre adhésion, qu’il en est heureux et fier. Bien sûr, il y a ceux qui croient être plus spirituels, et qui affirment avoir adhérer à l’Evangile, un point c’est tout, que les disparités entre confessions chrétiennes ne les intéressent pas. Mais ces différentes positions se situent quand même dans le domaine de l’adhésion. Or, Jésus contredit la fausse conception de la simple adhésion pour avoir l’approbation de Dieu...


Au v.22, ceux qui se voient refuser le royaume, se justifient et argumentent en mettant en avant leurs charismes. Je vous ferai remarquer qu’ils ne mentent pas, et Jésus ne les contredit pas non plus : leurs charismes étaient réels. S’il y avait mensonge ou exagération, le Seigneur n’aurait pas manqué de le souligner. Certains théologiens prétendent que ces gens mentent, que ce qu’ils disent n’est pas vrai. Mais pensez-vous qu’à la fin des temps, lorsque viendra l’ultime comparution devant le tribunal divin, quiconque pourra mentir en présence de la Vérité faite chair ? Je ne le crois pas. Personne ne pourra mentir à ce moment-là. Donc, les « prétentieux » de notre texte ne mentent pas : ils disent la vérité. Ils ont un curriculum vitae rempli de charismes accomplis de leur vivant sur terre, et Jésus ne les contredit pas.


Toutefois, malgré l’authenticité de leurs charismes, nous voyons qu’au v.23, Jésus prononce un verdict sans appel : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité. Contrairement à ce qu’ils croyaient, disaient et faisaient, Ces gens n’ont jamais eu une relation authentique avec le Seigneur, et furent rejetés par lui. Nous avons le même exemple dans l’Ancien Testament. Dans No 24, Balaam a manifesté un vrai charisme prophétique, mais cela ne l’a pas empêché d’être jugé, rejeté et condamné par Dieu (Cf. Jude 11). Notez ceci : la possession des charismes n’est pas la preuve que l’on soit approuvé de Dieu ! Parler en d’autres langues, guérir les malades, prophétiser, prêcher, officier en tant que pasteur ou prêtre, etc. ne certifie aucunement que nous fassions partie des amis de Jésus.


Faisons attention aux certitudes aveugles qui s’appuient sur les acquis que nous pensons avoir, en raison de nos expériences spirituelles passées ou présentes. Regardez ce que Paul dit dans 1 Co 10.1-5 :

1 Frères, je ne veux pas que vous ignoriez que nos pères ont tous été sous la nuée, qu'ils ont tous passé au travers de la mer,

2 qu'ils ont tous été baptisés en Moïse dans la nuée et dans la mer,

3 qu'ils ont tous mangé le même aliment spirituel,

4 et qu'ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher était Christ.


Il est question ici des phénomènes miraculeux dont bénéficièrent les israélites qui furent libérés de l’esclavage en Egypte. C’est une image de notre salut par la puissance du Saint-Esprit. Certains d’entre nous, nous pouvons témoigner de l’intervention surnaturelle du Seigneur pour nous sauver et transformer notre vie. Alléluia ! Mais regarder ce que Paul ajoute ensuite :

5 Mais la plupart d'entre eux ne furent point agréables à Dieu, puisqu'ils périrent dans le désert.


Malgré le fait qu’ils furent délivrés de la servitude Egyptienne, les israélites furent jugés et punis par Dieu, puisqu’ils moururent dans le désert et n’entrèrent pas en Canaan. Paul conclut dans les v.11-12 :

11 Ces choses leur sont arrivées pour servir d'exemples, et elles ont été écrites pour notre instruction, à nous qui sommes parvenus à la fin des siècles.

12 Ainsi donc, que celui qui croit être debout prenne garde de tomber !


Une mise en garde capitale pour tout croyant de notre époque ! Nous avons tendance à croire que nous sommes meilleurs que la génération qui a péri dans le désert pendant les 40 années d’errance. Mais notez ce que l’apôtre dit au v.12 : que celui qui croit être debout prenne garde de tomber. Le manque d’humilité et de vigilance des chrétiens du 21ème siècle peut leur être fatal. J’ai bien peur que le folklore qui s’est installé dans beaucoup de communautés évangéliques et charismatiques, aveugle les croyants qui pensent être ce qu’ils ne sont pas en réalité : des amis de Jésus ! Savez-vous que le danger de croire que nous sommes ce que nous ne sommes pas réellement, est encore plus accentué dans une parabole de Jésus ? Regardez ce que le Seigneur dit dans Mt 13.24-30 :

24 Il leur proposa une autre parabole, et il dit: Le royaume des cieux est semblable à un homme qui a semé une bonne semence dans son champ.

25 Mais, pendant que les gens dormaient, son ennemi vint, sema de l'ivraie parmi le blé, et s'en alla.

26 Lorsque l'herbe eut poussé et donné du fruit, l'ivraie parut aussi.

27 Les serviteurs du maître de la maison vinrent lui dire: Seigneur, n'as-tu pas semé une bonne semence dans ton champ ? D'où vient donc qu'il y a de l'ivraie ?

28 Il leur répondit : C'est un ennemi qui a fait cela. Et les serviteurs lui dirent : Veux-tu que nous allions l'arracher ?

29 Non, dit-il, de peur qu'en arrachant l'ivraie, vous ne déraciniez en même temps le blé.

30 Laissez croître ensemble l'un et l'autre jusqu'à la moisson, et, à l'époque de la moisson, je dirai aux moissonneurs: Arrachez d'abord l'ivraie, et liez-la en gerbes pour la brûler, mais amassez le blé dans mon grenier.


Le fait est que le blé et l’ivraie se ressemblent beaucoup, et peuvent même cohabiter nous dit Jésus(v.30). Dans l’illustration du Seigneur, le maître interdit aux serviteurs d’arracher l’ivraie en faveur du blé, il déclare que la séparation entre les deux ne se fera qu’à la moisson. Mais qu’est-ce que cela signifie ? Qu’est-ce que Jésus cherche à nous enseigner ? L’explication est donnée aux v.36-43 :

36 Alors il renvoya la foule, et entra dans la maison. Ses disciples s'approchèrent de lui, et dirent : Explique-nous la parabole de l'ivraie du champ.

37 Il répondit : Celui qui sème la bonne semence, c'est le Fils de l'homme ;

38 le champ, c'est le monde ; la bonne semence, ce sont les fils du royaume ; l'ivraie, ce sont les fils du malin ;

39 l'ennemi qui l'a semée, c'est le diable ; la moisson, c'est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges.

40 Or, comme on arrache l'ivraie et qu'on la jette au feu, il en sera de même à la fin du monde.

41 Le Fils de l'homme enverra ses anges, qui arracheront de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent l'iniquité:

42 et ils les jetteront dans la fournaise ardente, où il y aura des pleurs et des grincements de dents.

43 Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Que celui qui a des oreilles pour entendre entende.


Je me limiterai à résumer l’explication que donne Jésus dans sa parabole. Nous découvrons que chaque élément est identifié : le Christ (v.37), les vrais croyants et les faux croyants (v.38) ; Satan, les anges et la fin du monde (v.39-40) ; le jugement et la condamnation (v.41-42). Comprenez-vous l’objectif du seigneur dans cette parabole ? Jésus nous dit que dans la sphère chrétienne il y a « un grand mélange » provoqué par Satan lui-même : de vrais disciples et de faux disciples ! Cette cohabitation sera tolérée jusqu’au jugement, et alors aura lieu la grande séparation. Le point important dont il faut se souvenir est le suivant : Rien ne ressemble plus à un vrai ami de Jésus qu’un faux ami de Jésus ! Ou si vous préférez : Rien ne ressemble plus à un vrai disciple de Jésus qu’un faux disciple de Jésus ! Dans quelle catégorie vous situez-vous ? Dans le but de montrer que nous ne devons rien considérer comme acquis, et que nous pouvons subir le rejet de Dieu si nous ne sommes pas conformes à sa volonté, Paul dit ceci dans Ro 11.17-22 :

17 Mais si quelques-unes des branches ont été retranchées, et si toi, qui était un olivier sauvage, tu as été enté à leur place, et rendu participant de la racine et de la graisse de l'olivier,

18 ne te glorifie pas aux dépens de ces branches. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais que c'est la racine qui te porte.

19 Tu diras donc : Les branches ont été retranchées, afin que moi je fusse enté.

20 Cela est vrai ; elles ont été retranchées pour cause d'incrédulité, et toi, tu subsistes par la foi. Ne t'abandonne pas à l'orgueil, mais crains ;

21 car si Dieu n'a pas épargné les branches naturelles, il ne t'épargnera pas non plus.

22 Considère donc la bonté et la sévérité de Dieu: sévérité envers ceux qui sont tombés, et bonté de Dieu envers toi, si tu demeures ferme dans cette bonté ; autrement, tu seras aussi retranché.


Encore une fois, je me limiterai à un résumé. L’apôtre utilise l’image d’un olivier qui a subi un élagage et une greffe, pour illustrer le rejet temporaire de la nation juive du salut, et l’intégration des non-juifs dans ce même salut (v.17). Au v.18, Paul demande aux païens qui ont rejoint le peuple de Dieu, de ne pas se croire supérieurs aux Juifs, et de réaliser qu’ils dépendent de la grâce de Dieu, et non d’un mérite quelconque. Dans les v.19-20, nous apprenons que les Juifs ont été rejetés à cause de leur incrédulité, et que nous, païens, nous avons été sauvés par la foi seule. Cela devrait nous amener à plus d’humilité et de crainte, car nous ne sommes vraiment pas meilleurs qu’eux ! Au v.21, l’apôtre affirme que si Dieu a rejeté les Juifs, il peut aussi rejeter les croyants de l’Eglise. Nous avons été greffés, donc nous pouvons être coupés, tout comme l’ont été les Juifs. Et enfin au v.22, Paul nous invite à ne pas oublier la bonté et la sévérité de Dieu. Le Saigneur reste bon si nous demeurons dans sa bonté, mais il sera sévère si nous nous éloignons de sa bonté par la désobéissance.


Face à ce vrai danger de contrefaçon spirituelle au sein de la sphère chrétienne, Dieu appelle tous les croyants, quels que soient leurs charismes, leurs positions et leurs titres, à s’examiner et à vérifier l’authenticité de leur amitié avec lui. A ce sujet, il est intéressant de savoir que cet examen est autant valable pour croyants de l’Ancien Testament que pour ceux du Nouveau Testament. Regardez ce que dit So 2.1-3 :

1 Rentrez en vous-mêmes, examinez-vous, Nation sans pudeur,

2 Avant que le décret s'exécute Et que ce jour passe comme la balle, Avant que la colère ardente de l'Éternel fonde sur vous, Avant que le jour de la colère de l'Éternel fonde sur vous !

3 Cherchez l'Éternel, vous tous, humbles du pays, Qui pratiquez ses ordonnances ! Recherchez la justice, recherchez l'humilité ! Peut-être serez-vous épargnés au jour de la colère de l'Éternel.


C’est un appel très sérieux de Dieu à son peuple de l’ancienne alliance, afin qu’il échappe au jugement et ne soit pas condamné. Notez le « Peut-être serez-vous épargnés au jour de la colère de l'Éternel ». Et si nous croyons que cela ne s’applique pas aux croyants de la nouvelle alliance, Paul dit que nous devons faire la même chose qu’Israël autrefois : nous examiner, de peur d’être rejetés ou disqualifiés.

2 Co 13.5 (Sg 21) : Examinez-vous vous-mêmes pour savoir si vous êtes dans la foi; mettez-vous vous-mêmes à l'épreuve. Ne reconnaissez-vous pas que Jésus-Christ est en vous? A moins peut-être que vous ne soyez disqualifiés.


Le mot disqualifiés traduit le grec adokimos qui signifie : « non approuvé, faux, disqualifié ». Et au cas où nous pensons que les responsables spirituels (pasteurs, évangélistes, prêtres, etc.) ne sont pas concernés par cette mise en garde, Paul précise que tout apôtre qu’il est, il doit rester très prudent. Il déclare dans 1 Co 9.27 (Sg 21) : Au contraire, je traite durement mon corps et je le discipline, de peur d'être moi-même disqualifié après avoir prêché aux autres. J’attire votre attention sur ce poignant témoignage de l’apôtre : « de peur d'être moi-même disqualifié ». Voilà la clé : la peur de Dieu ! Beaucoup de chrétiens n’ont plus peur de Dieu. Ils se disent : « Mais Dieu est mon ami et il m’aime, pourquoi devrais- avoir peur de lui ? ». Je terminerai par ces deux réponses :


Premièrement, parce que le Ps 111.10 affirme que : La crainte de l'Éternel est le commencement de la sagesse. Ne pas avoir peur de Dieu est un signe d’inconscience et de folie ! Suppliez Dieu de vous donner la peur de sa glorieuse personne.


Deuxièmement, parce que ne sont les amis du Seigneur que ceux qui s’appliquent à lui obéir, selon Jn 15.14 : Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande. Craignons-nous le Seigneur jusqu’à lui obéir, même au dépend de notre communauté chrétienne ?


Alors : Sommes-nous les amis de Jésus ? Je vous invite à réfléchir sincèrement et sérieusement à la question, en découvrant à quoi nous devons obéir exactement... Puis de passer à l’action : OBEIR !


A bientôt...



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