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A QUOI RESSEMBLERA LE MONDE QUAND JESUS REVIENDRA ?

Regardez avec moi ces belles paroles de l’apôtre Paul dans 2 Ti 4.8 : Désormais la couronne de justice m'est réservée ; le Seigneur, le juste juge, me le donnera dans ce jour-là, et non seulement à moi, mais encore à tous ceux qui auront aimé son avènement. Il est question de deux choses ici : la couronne de justice et l’avènement. La couronne de justice est la récompense que nous recevrons lorsque nous apparaîtrons devant le tribunal de Christ selon 2 Co 5.10. Il s’agit de l’accueil officiel dans le royaume éternel du Seigneur de tous ceux qui ont été rendus justes par la foi dans son sacrifice à la croix.


C’est pourquoi Paul affirme qu’il ne sera pas le seul à recevoir cette couronne, mais qu’elle est pour tous ceux qui auront aimé son avènement. Ce qui nous amène au second élément : l’avènement. Il désigne globalement le retour ou la seconde venue de Jésus. Donc retenons bien ceci : Jésus reviendra une seconde fois et récompensera ceux qui auront été justifiés par son sang. Cependant, il y a un point important qu’il ne faut pas négliger ici. Paul précise que cette couronne de justice sera donnée à tous ceux qui auront aimé son avènement.


L’importance de la seconde venue de Jésus


L’apôtre indique ici ce que doit être l’attitude des justifiés pour être trouvés dignes de recevoir la couronne de justice : aimer le retour du Seigneur ! Il dit clairement que Jésus-Christ donnera une couronne à ceux qui attendent avec amour sa seconde venue. Aimons-nous l’idée que Jésus revient bientôt ? Attendons-nous son retour avec passion ? Si je pose ces questions, c’est parce que depuis quelques temps le retour de Jésus est déprécier dans certains milieux évangéliques.


Tout croyant qui prend l’Evangile au sérieux sait que Jésus doit revenir. Ceux qui ignorent tout de sa seconde venue, ou qui n’y croient pas, pensant que l’Eglise finira par conquérir la terre et installer le royaume de Dieu, ont du souci à se faire car Jésus ne revient que pour ceux qui non seulement l’attendent, mais qui aiment son avènement. J’espère vous rendre conscient que le Seigneur s’attend à ce que nous aimions la perspective de sa seconde venue pour nous chercher. Je crois que se désintéresser du retour de Jésus, sous prétexte qu’il faut s’occuper principalement des besoins présents, est un symptôme d’un problème bien plus inquiétant : celui de notre relation avec Jésus


Si nous confessons avoir une relation avec Jésus comme sauveur et Seigneur, est-ce normal de ne pas soupirer après son retour ? Ne sommes-nous pas inquiets d’investir toute notre énergie sur les réalités terrestres, en perdant toute connexion avec l’espérance de l’apparition du Seigneur sur les nuées ? Alors que Paul dit dans Col 3.2 : Affectionnez-vous aux choses d'en haut, et non à celles qui sont sur la terre, de nombreux croyants misent tout sur la terre : ils veulent des églises plus grandes, avec plus de moyens techniques et de brillants prédicateurs experts en communication, pour toucher davantage de gens. C’est légitime de vouloir amener plus d’individus à la foi en Christ, mais il ne faut pas que cela devienne une ambition dans laquelle ne compte que les statistiques, la réussite et la renommée…


Le besoin le plus urgent de l’Eglise contemporaine


Le mouvement mondial pour la croissance de l’Eglise, né aux Etats-Unis dans les années soixante-dix, a fini par être infecté par le virus de l’ambition personnelle, si bien qu’aujourd’hui plusieurs responsables de communautés évangéliques ressemblent davantage à des hommes d’affaire qui pensent au succès de leur entreprise, qu’à des bergers qui sont animés du même souci que Paul lorsqu’il dit dans 2 Co 11.2 : Je vous ai fiancés à un seul époux, pour vous présenter à Christ comme une vierge pure. Les pasteurs et les prédicateurs savent-ils que leur mission est de préparer le troupeau qui est sous leur garde à se présenter à Christ comme une vierge pure ?


Si les brebis dont ils sont responsables ne pensent qu’à la croissance numérique et à la prospérité financière de leur congrégation, s’ils se consacrent en priorité à la promotion du ministère de leur pasteur, s’ils sont préoccupés principalement par la découverte de toutes sortes de formules pour pouvoir obtenir tout ce qu’ils veulent, et que leur cœur ne brûlent pas d’amour pour le retour de Jésus, alors ces responsables d’églises ont raté leur vocation et n’ont pas honoré leur appel au service de l’Evangile. Si ce que je dis vous semble sévère, alors laissez-moi vous rappeler les paroles de Paul dans Ph 2.20-21 :

20 Car je n'ai personne ici qui partage mes sentiments, pour prendre sincèrement à cœur votre situation ;

21 tous, en effet, cherchent leurs propres intérêts, et non ceux de Jésus Christ.


Ainsi que dans Ro 16.18 : Car de tels hommes ne servent point Christ notre Seigneur, mais leur propre ventre ; et, par des paroles douces et flatteuses, ils séduisent les cœurs des simples.


Il n’y a jamais eu une époque dans l’Histoire de l’Eglise où des individus aiment tellement leur position d’autorité dans le ministère, qu’ils en arrivent au point où, sans s’en rendre compte peut-être, ils ne servent que leurs propres intérêts et leur propre ventre. C’était déjà le cas à l’époque apostolique, comme en témoigne Paul ici, mais c’est bien pire aujourd’hui ! Je vous le dis sans détour : la faiblesse de l’Eglise contemporaine, c’est son pragmatisme. Selon le dictionnaire Le Robert, le pragmatisme est l’attitude d'une personne qui ne se soucie que d'efficacité.


Donc, aujourd’hui dans les églises, d’une manière générale, les responsables se posent des questions purement fonctionnelles du type : Est-ce que ça marche ? Est-ce que ça va contribuer à la croissance de l’église ? La méthode pour réussir et le modèle à la mode pour avoir du succès, passent avant le message de l’Évangile. C’est pourquoi un évangile qui met en avant les principes d’épanouissement personnel, ainsi que les formules de développement dans les sphères professionnelles et familiales, est ce que les gens entendent de façon quasi exclusive dans les rassemblements évangéliques. Certains milieux mettent l’emphase sur la dimension surnaturelle des miracles et des guérisons. Mais dans les deux cas, la prophétie biblique est largement négligée car elle a la réputation de ne pas correspondre aux besoins du présent.


Chrétiens réveillés et chrétiens endormis


Posez-vous les questions suivantes : « Est-ce que j’attends le retour de Jésus ? Est-ce que j’aime la perspective de sa seconde venue ? Est-ce que je crois dans l’enlèvement de l’Eglise, et surtout est-ce-que je fais tout ce que je peux pour en faire partie ? » Laissez-moi vous affirmer ceci : un chrétien réveillé est un chrétien qui attend le retour de Jésus. Un chrétien réveillé est un chrétien qui entretien la passion de rencontrer son Seigneur dans les airs. Un chrétien réveillé est un chrétien qui se tient prêt pour l’apparition de Christ. Un chrétien réveillé est un chrétien qui fait preuve de vigilance pour ne pas manquer l’enlèvement de l’Eglise. C’est ainsi que vivaient les premiers chrétiens, et j’en veux pour preuve ce que déclare l’apôtre Paul dans 1 Th 5.1-10 :

1 Pour ce qui est des temps et des moments, vous n'avez pas besoin, frères, qu'on vous en écrive.

2 Car vous savez bien vous-mêmes que le jour du Seigneur viendra comme un voleur dans la nuit.


Notons que Paul dit que les croyants sont informés des temps et des moments qui signalent le retour de Jésus ! Cela signifie qu’il y a des indicateurs temporels, ou des signes avant-coureurs, qui indiquent que le seigneur est sur le point de revenir. Notons aussi que cette venue sera semblable à celle d’un voleur dans la nuit, c’est-à-dire que personne ne la remarquera, sauf ceux qui seront enlevés à sa rencontre dans les airs.


3 Quand les hommes diront : Paix et sûreté ! alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l'enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n'échapperont point.


Mais une fois que l’Eglise sera enlevée, la période connue sous le nom de « grande tribulation » commencera. Paul fait un très bref résumé de cette période dans ce verset. Il dit qu’après le départ de l’Eglise, l’antichrist fera son apparition, prétendra régler de graves problèmes et apportera un semblant de paix au début. Mais rapidement il montrera son vrai visage de destructeur, et la vie sur terre deviendra un véritable enfer pour ceux qui n’auront pas été enlevés.


4 Mais vous, frères, vous n'êtes pas dans les ténèbres, pour que ce jour vous surprenne comme un voleur ;


Paul dit que contrairement au monde qui sera surpris par le ruine soudaine que l’antichrist provoquera, les croyants eux ne tomberont pas dans le piège. Et pourquoi seront-ils épargnés ? Parce qu’ils n’appartiennent pas au règne des ténèbres, et qu’ils ont une autre destinée beaucoup plus glorieuse.


5 vous êtes tous des enfants de la lumière et des enfants du jour. Nous ne sommes point de la nuit ni des ténèbres.

6 Ne dormons donc point comme les autres, mais veillons et soyons sobres.

7 Car ceux qui dorment, dorment la nuit, et ceux qui s'enivrent, s'enivrent la nuit.


Le fait d’être des enfants de lumière n’est pas une sécurité absolue en soi, il faut aussi ne pas dormir spirituellement, mais veiller et être sobre. Dormir et s’enivrer la nuit ne se limitent pas à l’aspect physique et matériel uniquement, il s’agit également du fait de ne pas être dans l’expectative du retour de Jésus, ne pas aimer son avènement, comme nous l’avons dit un plus tôt, et de n’être préoccupé que par la satisfaction de ses propres idées, de ses propres ambitions. Un chrétien ou un pasteur peut être enivré par la réalisation de ses plans personnels, au point de ne plus penser à l’enlèvement de l’Eglise, de s’en désintéresser complètement. On a alors à faire à un chrétien ou à un pasteur spirituellement endormi.


8 Mais nous qui sommes du jour, soyons sobres, ayant revêtu la cuirasse de la foi et de la charité, et ayant pour casque l'espérance du salut.


Si nous sommes du jour, c’est-à-dire si nous sommes des croyants spirituellement réveillés, les trois grandes vertus chrétiennes doivent être présents en nous : la foi, la charité ou l’amour et l’espérance. Je vous prie de noter que Paul parle de l’espérance du salut. C’est un terme précis qui vise quelque chose de particulier. Quoi exactement ? Eh bien c’est ce qu’il dit dans les deux derniers versets :

9 Car Dieu ne nous a pas destinés à la colère, mais à l'acquisition du salut par notre Seigneur Jésus Christ,

10 qui est mort pour nous, afin que, soit que nous veillons, soit que nous dormions, nous vivions ensemble avec lui.


L’espérance du salut, c’est que nous ne sommes pas destinés à la colère qui sera libérée quand l’antichrist apparaîtra, et dont parle le v.3 lorsqu’il est question de la ruine soudaine. Non, l’Eglise n’est pas destinée à cette colère ! A quoi est-elle destinée alors ? Nous l’avons lu dans le v.9 : à l'acquisition du salut par notre Seigneur Jésus Christ qui est mort pour nous. En tant que disciples de Christ, notre destinée n’est pas la colère, mais c’est le salut ! Et en quoi consiste ce salut ? Paul le dit clairement : soit que nous veillons, soit que nous dormions, nous vivions ensemble avec lui. Ici veiller et dormir se réfère à la vie et la mort physique. Laissez-moi vous dire ce que cette déclaration de Paul signifie vraiment.


une femme qui tient sa bible contre elle et qui a les yeux fermés. le fond de l'image est clair avec une église dessinée

Le salut et le retour de Christ


L’apôtre dit que si nous aimons l’avènement de Christ, nous le rejoindrons pour vivre avec lui. Si nous sommes morts au moment de son retour, nous recevrons notre corps de résurrection pour entrer dans le royaume éternel, et si nous sommes vivants physiquement quand il reviendra, nous serons enlevés et transformés en un clin d’œil pour rencontrer Jésus sur les nuées. Et tous, nous vivrons pour l’éternité avec lui. Que son Nom soit béni ! Vous comprenez maintenant pourquoi je dis qu’il est important de croire dans le retour de Jésus et d’aimer sa seconde venue par-dessus tout ? Tout simplement parce que notre salut éternel en dépend.


C’est une erreur de penser que seule la première venue de Jésus compte pour notre salut, sa seconde venue compte autant. C’est ce qui ressort du texte que nous venons de lire, ainsi que de plusieurs autres passages du Nouveau Testament. Mais je voudrais attirer votre attention sur une expression que Paul utilise au début de notre passage, lorsqu’il dit au v.1 : Pour ce qui est des temps et des moments, vous n'avez pas besoin, frères, qu'on vous en écrive. Je vous ai dit qu’ici, il fait référence à des indicateurs temporels qui signalent que Jésus est sur le point de revenir, et donc d’enlever l’Eglise. Mais quels sont-ils ces indicateurs temporels ? Comment pouvons-nous savoir que le compte-à-rebours a commencé, et que le plus grand rendez-vous que l’Eglise a avec son Seigneur est sur le point d’avoir lieu ? Jésus lui-même nous donne un indice surprenant dans Mt 24.37-39 (NBS) :

37 En effet, comme ont été les jours de Noé, ainsi sera l'avènement du Fils de l'homme.

38 En effet, aux jours qui précédèrent le déluge, les gens mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu'au jour où Noé entra dans l'arche ;

39 et ils ne se doutèrent de rien jusqu'à ce que le déluge vienne et les emporte tous ; il en sera de même à l'avènement du Fils de l'homme.


Dans ce texte que nous venons de lire, Jésus parlent de l’époque de son retour, et il dit que les jours qui précéderont sa seconde venue, seront comme ont été les jours de Noé. En d’autres mots, le monde qui verra le retour de Jésus, le monde qui existera lorsque l’Eglise sera enlevée, sera en tous points semblable au monde de l’époque de Noé. Alors on peut se demander comment était le monde de Noé quand le déluge est arrivé ? Les v.38-39 nous en donnent un aperçu. Nous y voyons une société bruyante, active et fêtarde. Nul doute que cela correspond à notre monde actuel. Mais est-ce vraiment tout ce qu’il y avait dans le monde de Noé ? Pour le savoir, il faut examiner les textes qui dépeignent le monde d’avant le déluge, et nous verrons que cela ne se limitait pas au bruit, à l’activité et à la fête. Ces textes se trouvent au début du livre de la Genèse. Laissez-moi vous les présenter.


Les questions auxquelles il faut répondre


Dans le chapitre un de la Genèse, nous avons la création de la terre. Dans le chapitre deux, nous voyons la création du premier couple humain et leur installation dans le jardin d’Eden. Dans le chapitre trois, nous assistons à la rébellion d’Adam et Eve, ainsi qu’à leur expulsion hors du jardin d’Eden. Dans le chapitre quatre, nous découvrons que Caïn tue son frère Abel et que ses descendants développent la civilisation humaine. Dans le chapitre cinq, l’emphase est mise sur la liste des ancêtres depuis Adam jusqu’à Noé. Et c’est à partir du chapitre six que nous découvrons le monde dans lequel vivait Noé, et auquel ressemblera le monde qui sera témoin du retour de Christ. C’est pourquoi je vais vous demander toute votre attention, car nous allons découvrir des choses qui revêtent une très grande importance pour nous aujourd’hui. Lisons ensemble Ge 6.1-8 :

1 Lorsque les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre, et que des filles leur furent nées,

2 les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu'ils choisirent.

3 Alors l'Éternel dit : Mon esprit ne restera pas à toujours dans l'homme, car l'homme n'est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans.

4 Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu'elles leur eurent donné des enfants : ce sont ces héros qui furent fameux dans l'antiquité.

5 L'Éternel vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal.

6 L'Éternel se repentit d'avoir fait l'homme sur la terre, et il fut affligé en son cœur.

7 Et l'Éternel dit : J'exterminerai de la face de la terre l'homme que j'ai créé, depuis l'homme jusqu'au bétail, aux reptiles, et aux oiseaux du ciel ; car je me repens de les avoir faits.

8 Mais Noé trouva grâce aux yeux de l'Éternel.


Je sais que c’est un long passage que nous avons lu, mais si vous saviez combien il est crucial pour notre compréhension de tout ce qui se passera par la suite, et encore aujourd’hui à notre époque ! Ce texte a fait l’objet de nombreux débats et a embarrassé beaucoup de théologiens au fil des siècles. Il a même déchaîné des prises de position violentes parce qu’il est la preuve que les civilisations humaines ne sont le produit des seules capacités de l’homme, mais que des forces qui le dépassent se sont imposées à lui et ont pris le contrôle. Or, les institutions chrétiennes, d’une manière générale, ont caché aux croyants ce qui a réellement déclenché le jugement de Dieu et provoqué le déluge au temps de Noé.


Les chrétiens en sont donc resté à une vision très naïve du déluge et de l’arche de Noé, ignorant ce qui se passaient vraiment à cette époque, et pourquoi Dieu a décidé d’exterminer une humanité qui pouvait compter au minimum 235 millions de personnes, voir même jusqu’à plus d’un milliard d’individus selon certains des spécialistes bibliques les plus réputés. Qu’est-ce qui a motivé une telle décision de la part du Dieu qui est amour selon 1 Jn 4.8 ? La radicalité de la mesure doit avoir une explication autre que celle qui est donnée au catéchisme catholique et au club biblique évangélique. La réponse est dans notre texte. Vous serez d’accord avec moi pour reconnaître qu’il soulève de nombreuses questions, comme :

1) Qui sont les fils de Dieu du v.2 ?

2) A quoi correspondent les 120 ans du v.3 ?

3) Qui sont les géants et les fameux héros du v.4 ?

4) Quel est le mal dont parle le v.5 ?

5) Pourquoi le bétail du v.7 a-t-il aussi subit le jugement ?

6) En quoi Noé était-il différent et trouva grâce selon le v.8 ?


C’est à ces questions que je souhaite répondre dans cette série d’études que j’entame à partir de ce jour. Rappelez-vous : notre but est de savoir à quoi ressemblera le monde qui verra la seconde venue de Jésus. Je vous donne rendez-vous dans la prochaine vidéo pour découvrir à quoi Jésus faisait allusion quand il a dit « comme ont été les jours de Noé », et surtout en quoi cela nous concerne ?


A bientôt…


d'un coté nous voyons l'arche de Noé et de l'autre coté nous voyons nos cités contemporaines. au milieu se trouve un espace sombre avec le titre "a quoi ressemblera le monde quand Jésus reviendra ?"

cliquer sur l'image pour voir l'article en vidéo


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